Avec mes 2 co-rapporteurs, Patrick Chaize et Pierre Louault, et après cinquante auditions et rencontres, nous publions ce 31 mars un rapport sur l’avenir de La Poste.
Fort de ses 17000 points de contact, La Poste reste un des trop rares services publics encore pleinement accessible à la majorité de la population mais les défis sont nombreux si nous voulons qu’un service de qualité perdure.
L’enjeu économique est bien évidemment le plus critique et l’état ne finance qu’en partie les 4 missions de services publics confiés à La Poste: service universel postal, contribution à l’aménagement du territoire (avec les 17000 points de contact), le transport et la distribution de la presse et, la mission d’accessibilité bancaire.
L’activité colis pourtant en pleine croissance n’arrive pas à compenser les pertes des autres activités. Mieux #compenser financièrement les missions confiées est donc une nécessité.
La Poste doit aussi garantir un service de qualité et l’ARCEP doit mieux veiller au respect de ces obligations. Mieux #contrôler est donc le deuxième axe de nos propositions.
Nous avons identifié divers axes d’améliorations et formuler des recommandations notamment sur l’implication et l’information des élus locaux et le fonctionnement des Agences Postales Communales pour #améliorer la qualité de service.
Fort de son réseau et de son personnel, La Poste a déjà expérimenté et pourra donc innover pour #détecter par exemple la précarité numérique ou la perte d’autonomie.
Vous pouvez consulter l’essentiel du rapport, ou pour les plus téméraires, le rapport complet sur le site du sénat.
Pour toute question, ou si vous souhaitez échanger à ce sujet, je vous propose de vous inscrire à l’atelier thématique qui se déroulera le 12 avril prochain.